EPHYDION, solution buvable, flacon de 30 ml
Retiré du marché le : 02/05/2011
Dernière révision : 12/08/1996
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : JOLLY JATEL
Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
CONTRE-INDIQUE :
- Allergie à l'un des constituants.
- Insuffisance respiratoire.
- Toux de l'asthmatique.
- Allaitement : l'éthylmorphine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez les nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
La prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool (voir interactions) pendant le traitement est déconseillée.
- Allergie à l'un des constituants.
- Insuffisance respiratoire.
- Toux de l'asthmatique.
- Allaitement : l'éthylmorphine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez les nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
La prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool (voir interactions) pendant le traitement est déconseillée.
MISES EN GARDE :
- Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.
- Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.
- Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
- Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
- Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 30 kg.
- Prudence en cas d'hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
- La prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool (voir interactions) pendant le traitement est déconseillée.
- L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
- Grossesse : il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique d'éthylmorphine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'éthylmorphine pendant la grossesse.
- Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.
- Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.
- Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
- Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
- Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 30 kg.
- Prudence en cas d'hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
- La prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool (voir interactions) pendant le traitement est déconseillée.
- L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
- Grossesse : il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique d'éthylmorphine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'éthylmorphine pendant la grossesse.
Aux doses thérapeutiques : les effets indésirables du chlorhydrate d'éthylmorphine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et plus modérés.
- Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées, vomissements.
- Rarement bronchospasmes, réactions cutanées allergiques, dépression respiratoire (voir contre-indications)
Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chez l'utilisateur et chez le nouveau-né de mère toxicomane.
- Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées, vomissements.
- Rarement bronchospasmes, réactions cutanées allergiques, dépression respiratoire (voir contre-indications)
Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chez l'utilisateur et chez le nouveau-né de mère toxicomane.
Grossesse :
Il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal.
En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique d'éthylmorphine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'éthylmorphine pendant la grossesse.
Allaitement :
L'éthylmorphine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
Il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal.
En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique d'éthylmorphine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'éthylmorphine pendant la grossesse.
Allaitement :
L'éthylmorphine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
Association déconseillée :
Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool.
Associations à prendre en compte :
Autres dépresseurs du SNC : analgésiques ou antitussifs morphiniques, certains antidépresseurs, antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et apparentés, hypnotiques, neuroleptiques, anxiolytiques autres que benzodiazépines.
Majoration de la dépression centrale pouvant avoir des conséquences importantes, notamment en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines.
Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool.
Associations à prendre en compte :
Autres dépresseurs du SNC : analgésiques ou antitussifs morphiniques, certains antidépresseurs, antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et apparentés, hypnotiques, neuroleptiques, anxiolytiques autres que benzodiazépines.
Majoration de la dépression centrale pouvant avoir des conséquences importantes, notamment en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines.
Réservée à l'adulte et à l'enfant de plus de 30 kg (soit environ 10 ans).
Posologie usuelle :
- Adulte : 40 à 50 gouttes par prise à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 4 prises par jour.
- Enfant :
La posologie est fonction du poids :
. 40 à 50 kg (environ 12 à 15 ans) : 15 gouttes par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin sans dépasser 60 gouttes par jour ;
. 30 à 40 kg (environ 10 à 12 ans) : 10 gouttes par prise à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 40 gouttes par jour.
En l'absence d'autres prises médicamenteuses apportant du chlorhydrate d'éthylmorphine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne du chlorhydrate d'éthylmorphine à ne pas dépasser est de 120 mg chez l'adulte, 0,6 mg/kg chez l'enfant de 20 à 50 kg (environ 6 à 15 ans).
Chez le sujet âgé ou en cas d'insuffisance hépatique, la posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l'adulte et pourra être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
Posologie usuelle :
- Adulte : 40 à 50 gouttes par prise à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 4 prises par jour.
- Enfant :
La posologie est fonction du poids :
. 40 à 50 kg (environ 12 à 15 ans) : 15 gouttes par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin sans dépasser 60 gouttes par jour ;
. 30 à 40 kg (environ 10 à 12 ans) : 10 gouttes par prise à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 40 gouttes par jour.
En l'absence d'autres prises médicamenteuses apportant du chlorhydrate d'éthylmorphine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne du chlorhydrate d'éthylmorphine à ne pas dépasser est de 120 mg chez l'adulte, 0,6 mg/kg chez l'enfant de 20 à 50 kg (environ 6 à 15 ans).
Chez le sujet âgé ou en cas d'insuffisance hépatique, la posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l'adulte et pourra être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
Sans objet.
Signes chez l'adulte : dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée), somnolence, rash, vomissements prurit, ataxie.
Signes chez l'enfant (seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique) : bradypnée, pauses respiratoires, myosis, convulsions, flush et oedème du visage, éruption urticarienne, collapsus, rétention d'urine.
Traitement : assistance respiratoire naloxone en cas d'intoxication massive.
Signes chez l'enfant (seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique) : bradypnée, pauses respiratoires, myosis, convulsions, flush et oedème du visage, éruption urticarienne, collapsus, rétention d'urine.
Traitement : assistance respiratoire naloxone en cas d'intoxication massive.
ANTITUSSIF OPIACE.
(R : système respiratoire).
- Chlorhydrate d'éthylmorphine : alcaloïde de l'opium, antitussif d'action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
- Benzoate de sodium : expectorant.
- Grindélia : phytothérapie à visée antitussive.
(R : système respiratoire).
- Chlorhydrate d'éthylmorphine : alcaloïde de l'opium, antitussif d'action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
- Benzoate de sodium : expectorant.
- Grindélia : phytothérapie à visée antitussive.
Métabolisme hépatique. Traverse le placenta et diffuse dans le lait maternel.
L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament.
Sans objet.
Sans objet.
Liste I.
Absence d'information dans l'AMM.
30 ml en flacon (verre brun de type III), bouchon en PE + mesurette graduée (PE/PS).